Cinéma et audiovisuel

The Rake's Progress

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organisé dans le cadre de :

di Igor Stravinsky
Nuova produzione del Festival d’Aix-en-Provence

in collaborazione con il Dutch National Opera di Amsterdam e con il Teatro Stanislavski di Mosca
in collaborazione con Complicite, London

Proiezione gratuita -Festival d’Aix-en-Provence
Ingresso su iscrizione: clicca qui per richiedere l’iscrizione

 

THE RAKE’S PROGRESS (2017)-  La Carrière du libertin
Igor Stravinski (1882 - 1971)

Opéra en trois actes (1951)

Livret de Wystan Hugh Auden et Chester Simon Kallman
Créé le 11 septembre 1951 à Venise

Direction musicale: Eivind Gullberg Jensen

Mise en scène:  Simon McBurney

Dramaturge:  Gérard McBurney
Décors:  Michael Levine
Costumes:  Christina Cunningham
Lumières:  Paul Anderson Vidéo:  Will Duke
Collaboratrice à la mise en scène/Chorégraphe:  Leah Hausman

Versione inglese con sottotitoli in francese

Interprètes

Ann Trulove:  Julia Bullock
Tom Rakewell:  Paul Appleby
Nick Shadow:  Kyle Ketelsen
Trulove:  David Pittsinger
Mother Goose:  Hilary Summers
Baba la Turque:  Andrew Watts
Sellem:  Alan Oke
Nick Shadow 2, Le Gardien de l’asile:  Evan Hughes

Chœur:  English Voices

Orchestre: Orchestre de Paris

Installé aux Etats-Unis après la Seconde Guerre mondiale, Igor Stravinski découvre la suite de tableaux du peintre anglais William Hogarth baptisée The Rake’s Progress, laquelle retrace la vie dissolue d’un libertin dans l’Angleterre du XVIIIe siècle, avec force détails réalistes et satiriques. Stravinski a l’idée d’en tirer un opéra. Le livret d’Auden et Kallman brode sur l’histoire narrée par Hogarth en y ajoutant la figure méphistophélique de Nick Shadow, âme damnée du roué Tom Rakewell. De bordel en vente aux enchères, le libertin finira chez les fous. Sur cet argument originaire du « siècle des Lumières », Stravinski se sert des codes de l’opéra du XVIIIe siècle. Mais le langage musical, s’il laisse passer le souvenir de Mozart, se réfère aussi à Rossini, Verdi ou Haendel, dont il « déplie » les esthétiques dans un cubisme musical qui n’a rien perdu de son astringence. Homme de théâtre majeur de notre temps, Simon McBurney repeint cette « carrière du libertin », tandis que Eivind Gullberg Jensen décape les multiples couches que Stravinski a empilées dans sa partition, entre distance amusée et émotion vraie.

Captation vidéo

Production: Fraprod
Réalisation: François Roussillon
Chaîne: Arte concert
Durée prévisionnelle: 2h50 (1 entracte compris)

 

In collaborazione con

 

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